Ode à l’Observatoire O, Demeure au sourire charmant, Tu jettes sur moi un regard si enjoué, Tu m’attires à toi irrésistiblement, Toi, aimable échelle du Ciel ! Mon âme s’emplit de douce Quiétude Devant ta Silhouette. Où que je chemine, où que j’aille, Par Temps de troubles ou de réjouissances, De ta Hauteur joyeuse tu rayonnes, Esprit protecteur pour me guider, Comme si tu voulais de la Vie terrestre M’élever vers le Ciel. Et dans un doux Calme bienheureux s’éteint Le fracas grondant du Monde, Alors je m’envole avec Allégresse vers Toi. Tu me conduis là-haut dans le Ciel, Et bienheureux, je crois atteindre en planant La Vie meilleure. Carl Knorre |